Lundi 31 mars 2025
Marine Le Pen condamnée, une,décision de justice qui compromet sa candidature à l’élection présidentielle de 2027 et aux prochaines législatives.
Le procès de Marine Le Pen : l’ex-présidente du RN condamnée à quatre ans de prison, dont deux ferme, et à cinq ans d’inéligibilité avec application immédiate
La députée d’extrême droite, reconnue coupable de détournement de fonds publics dans l’affaire des assistants européens du RN, a quitté le tribunal avant même le prononcé des peines. Tous les élus du parti jugés ont été condamnés à une peine d’inéligibilité.
Poursuivie pour des faits de « détournement de fonds publics » et de « complicité de détournement de fonds publics », la présidente du groupe des députés RN à l’Assemblée nationale a été condamnée à une peine de quatre ans d’emprisonnement, dont deux ferme aménageables sous bracelet électronique, à 100 000 euros d’amende, ainsi qu’à une peine d’inéligibilité de cinq ans avec exécution immédiate.
Une décision qui compromet sa candidature à l’élection présidentielle de 2027 et aux prochaines législatives.
Dans l’énoncé du jugement, le tribunal a mis en avant le « rôle central » de Marine Le Pen dans le système mis en place pour détourner l’argent du Parlement européen. Il dit avoir « pris en considération, outre le risque de récidive, le trouble majeur à l’ordre public, en l’espèce le fait que soit candidate à l’élection présidentielle une personne déjà condamnée en première instance ».
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Mardi 10 septembre

Statsminister Ulf Kristersson presenterade förändringar i regeringen
Publicerad 10 september 2024
Idag, tisdagen den 10 september, i samband med regeringsförklaringen berättade statsminister Ulf Kristersson om förändringar i regeringen. Två nya statsråd och fyra statsråd som byter ministerpost.

Maria Malmer Stenergard, tidigare migrationsminister, utnämndes till utrikesminister.
Johan Forssell, tidigare bistånds- och utrikeshandelsminister, utnämndes till migrationsminister.
Johan Pehrson, tidigare arbetsmarknads- och integrationsminister, utnämndes till utbildningsminister.
Mats Persson, tidigare utbildningsminister, utnämndes till arbetsmarknads- och integrationsminister.
Jessica Rosencrantz, tidigare riksdagsledamot och ordförande i riksdagens EU-nämnd, utnämndes till EU-minister.
Benjamin Dousa, tidigare VD på Företagarna, utnämndes till bistånds- och utrikeshandelsminister.
Här är hela Kristerssons regering:
Statsrådsberedningen
Ulf Kristersson (M): Statsminister
Jessica Rosencrantz (M): EU-minister
Utrikesdepartementet
Maria Malmer Stenergard (M): Utrikesminister
Benjamin Dousa: Bistånds- och utrikeshandelsminister
Utbildningsdepartementet
Johan Pehrson (L): Utbildningsminister
Lotta Edholm (L): Skolminister
Arbetsmarknadsdepartementet
Mats Persson (L): Arbetsmarknads- och integrationsminister
Paulina Brandberg (L): Jämställdhets- och biträdande arbetsmarknadsminister.
Finansdepartementet
Elisabeth Svantesson (M): Finansminister
Erik Slottner (KD): Civilminister
Niklas Wykman (M): Finansmarknadsminister
Försvarsdepartementet
Pål Jonson (M): Försvarsminister
Carl-Oskar Bohlin (M): Minister för civilt försvar
Justitiedepartementet
Gunnar Strömmer (M): Justitieminister
Johan Forssell (M): Migrationsminister
Klimat- och näringslivsdepartementet
Ebba Busch (KD): Energi- och näringsminister samt vice statsminister
Romina Pourmokhtari (L): Klimat- och miljöminister
Kulturdepartementet
Parisa Liljestrand (M): Kulturminister
Landsbygds- och infrastrukturdepartementet
Peter Kullgren (KD): Landsbygdsminister
Andreas Carlson (KD): Infrastruktur- och bostadsminister
Socialdepartementet
Jakob Forssmed (KD): Socialminister
Acko Ankarberg Johansson (KD): Sjukvårdsminister
Anna Tenje (M): Äldre- och socialförsäkringsminister
Camilla Waltersson Grönvall (M): Socialtjänstminister
Jeudi 5 septembre
Lundi 8 juillet
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Nouvelles élections législatives.
Qu’est-ce que la dissolution de l’Assemblée nationale ?
Cette possibilité est prévue par l’article 12 de la Constitution française. Le chef de l’Etat met ainsi fin de manière anticipée au mandat des députés de l’Assemblée nationale. Concrètement, les législatives de 2027 sont avancées à 2024.
La dissolution est une arme législative pensée pour permettre au président de la République de sortir la France d’une crise institutionnelle, par exemple lors d’une incompatibilité entre la majorité présidentielle et la majorité parlementaire.
Qui ?
Seul le président de la République peut dissoudre l’Assemblée nationale.
Quand ?
Il doit s’être écoulé au moins un an entre les précédentes élections législatives et la dissolution.
Comment ?
Le président doit consulter le premier ministre et les présidents des assemblées avant de la prononcer.
Quelle est la suite ?
Des élections législatives anticipées sont organisées entre 20 et 40 jours après la prononciation de la dissolution de l’Assemblée nationale sous forme de scrutin majoritaire à deux tours.
Quelles seront les conséquences institutionnelles ?
En convoquant des élections législatives en 2024, à trois ans des présidentielles, Emmanuel Macron désynchronise les élections législatives des élections présidentielles.
Les deux élections pourraient à nouveau être réalignées si et seulement si le prochain vainqueur de l’élection présidentielle, en 2027, décidait à son tour de dissoudre l’Assemblée nationale, à peine arrivé à l’Elysée. Le monde.fr
Nouvelles élections législatives le dimanche 30 juin et le dimanche 7 juillet.
Sondages
Le RN obtiendrait 31 % des voix au premier tour des législatives le 30 juin devant l’alliance de gauche à 28 %, la majorité à 18 % et LR à 6,5 %, selon un sondage Elabe qui donne une majorité relative en sièges au parti de Jordan Bardella à l’issue du second tour le 7 juillet. Dans cette enquête réalisée pour BFMTV et La Tribune Dimanche, "en fonction du rapport de force actuel mesuré dans l’intention de vote et du résultat aux élections précédentes, le Rassemblement national obtiendrait entre 220 et 270 sièges, l’alliance de gauche entre 150 et 190 sièges, Renaissance/alliés entre 90 et 130 sièges, LR/DVD entre 30 et 40 sièges et les autres forces politiques entre 10 et 20 sièges". L’institut précise que ce sondage a été réalisé "en majeure partie" avant la conférence de presse d’Emmanuel Macron.
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